De l’adéquation entre les conditions de travail et les aspirations des jeunes

La jeunesse n’a jamais été aussi libre que maintenant. Ce sont aujourd’hui plus d’1 million de jeunes Français chaque année qui ont le privilège d’effectuer un stage dans le monde professionnel. Grâce aux efforts menés par le libéralisme économique, les jeunes ont aujourd’hui la possibilité de travailler sans engagement contractuel contraignant. Alors que l’esprit de lucre motivait les générations précédentes à travailler, la jeunesse d’aujourd’hui peut ainsi s’adonner à une activité professionnelle par passion, sans rien attendre en retour, retrouvant ainsi une noblesse d’âme et une libération des basses considérations matérielles.

Avec l’encadrement juridique des stages depuis 2006, on déplore le manque de possibilités d’effectuer une carrière en tant que stagiaire, malgré les vocations actuelles. Il faudrait, par exemple, instaurer des grades à respecter, de stagiaire débutant à confirmé, selon les années d’expériences, afin de pouvoir allonger la période de stage.

Certains analystes inspirés considèrent que ce phénomène représente une évolution de la société, car l’espérance de vie augmentant, les jeunes choisissent d’allonger la durée de leurs études en refusant d’assumer des responsabilités professionnelles. De plus, la complexité croissante des métiers actuels, notamment ceux liés aux nouvelles technologies, ne permettrait pas aux jeunes de faire face à ces responsabilités. En outre, de nombreux jeunes préfèrent rester oisifs et peinent à vouloir s’insérer dans le monde du travail, un réflexe puéril due à une enfance aisée dans un monde sans réel problème. Ainsi, plus de 21.7% des 15-24 ans choisissent de rester chômeur.

Grâce au système de stage, les jeunes ne doivent plus faire face à l’ennui et la monotonie d’un contrat à durée indéterminée. Le stage et les contrats intérimaires ou à durée déterminée permettent de multiplier des expériences enrichissantes afin que chacun puisse apprendre à son rythme. La flexibilité du travail permet ainsi aux jeunes de développer des capacités d’adaptabilité, une plus grande polyvalence, une résistance face au changement afin qu’ils soient en phase avec le monde actuel.

Les jeunes font également preuve d’un grand sens d’attachement à la nation. En effet, en tant que stagiaire ils ne cotisent pas pour leurs retraites, qu’ils prendront donc plus tard, afin de moins peser sur un système sociale déjà lourd. De surcroit, ils seront heureux de pouvoir ensuite rembourser une dette accumulée par les générations précédentes, par simple souci d’entraide générationnelle.

Leur dévouement permet également aux entreprises, notamment les grande entreprises ayant massivement recours aux stagiaires, de mieux s’adapter à la concurrence liée à la mondialisation, afin de remplir leur premier objectif, le bien-être de la société.

Dès lors, pourquoi vouloir changer un système qui confère aux jeunes tant d’opportunités, de souplesse et de dynamisme? Pourquoi vouloir modifier un rapport de force alors que les acteurs économiques ne cherchent qu’à défendre les intérêts des jeunes et de la société? Ne nous mobilisons pas, c’est inutile.

Que pensez-vous des possibilités d'insertion professionelle des jeunes?

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6 réflexions au sujet de « De l’adéquation entre les conditions de travail et les aspirations des jeunes »

    • J’ajouterai e0 cette liste la cre9ativite9. Cette qualite9 peut aider l’agent de cenhgemnat e0 trouver de diffe9rents avantages e9ventuels qu’un cenhgemnat peut apporter aux touche9s. Cela permettra d’influencer leur perception d’instrumentalite9. Par exemple, si un nouveau syste8me TI diminue, entre autres, le temps d’accomplir certaines fonctions, il est mieux de montrer aux employe9s comment ils peuvent en profiter personnellement. Enfin, n’oublions pas que ce qui compte pour un employe9 c’est ab What does it mean for me? bb. Pour cela il faut savoir e9couter et connaitre ses employe9s, les qualite9s de9je0 mentionne9es.Une autre qualite9 qui aidera e0 justifier ab le pourquoi bb d’un cenhgemnat est la capacite9 de raisonnement. Cela aussi influence l’adhe9sion des employe9s au cenhgemnat requis.

  1. Je crois que même s’il y a aujourd’hui la possibilité pour les jeunes d’être flexibles sur le marché du travail, elle ne doit pas être la règle. Si l’on compare avec les autres Pays européens, on s’aperçoit du fait que la condition de la jeunesse est dramatique. La mobilité du travail est importante mais les jeunes restent de plus en plus bloqués dans la chaine des stages. La recherche d’un travail est aujourd’hui un problème à résoudre à l’échelle communautaire. En Italie par exemple le 31% des jeunes entre 24 et 29 n’est pas actif sur le marché du travail: les jeunes préfèrent de rester à la maison sans rien faire tandis que le parmi le 69% qui reste, seulement une petite partie travaille activement. Pourquoi? Parce-que le jeune sortie de l’Université a du mal à s’insérer dans le marché du travail qui reste un luxe. Quels sont-ils les outils à utiliser pour faire face à un si grand souci? Il faudrait des réformes qui visent plus les jeunes dans lesquels il faut investir pour à la fois dépasser la crise actuelle et préparer le terrain pour le future qui s’avère toujours plus difficile.

  2. C’est beaucoup, c’est vrai; et c’est la roiasn pour laquelle il est possible de plancher sur son travail de me9moire/the8se pendant les heures de pre9sence. Une manie8re inclusive d’envisager les e9tudes

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